Simone
Lucienne (moi-m�me), n�e le 20 d�cembre 1912 � Oran
�pouse Alphonse
POBEDA, n� le 29 ao�t 1901 � Palikao (d�partement d'Oran) le 23
octobre 1933.
Nous avons eu quatre enfants.
Lucien
Raymond Emile, n� le 27 octobre 1914 � Oran,
�pouse Eliane GALBE, n�e le 8 ao�t 1920 � Sidi Bel Abb�s le 27
octobre 1914.
Il d�c�de le 19 f�vrier 1946.
Ils ont eu deux enfants.
Pierre
Georges, n� le 6 juillet 1916 � Marseille, d�c�d� le 7 f�vrier
1954 en Indochine.
Il �pouse Ang�le AMBROGIANI, n�e le 5 janvier 1919 � Marseille,
d�c�d�e en juin 1976.
Ils se marient par procuration � Marseille et au S�n�gal. Ils
ont eu deux enfants.
MES ENFANTS, PETITS-ENFANTS
et ARRIERE PETITS-ENFANTS : voir le dossier "
l'aou�la "
LES ENFANTS DE
MES FRERES et leurs PETITS-ENFANTS.
Lucien
Raymond Emile RAPINAT et Eliane GALBE ont eu deux enfants :
Lucienne
(Miette) N�e le 22 mai 1941, � Sidi Bel Abb�s.
Philippe
N� le 20 octobre 1945, Sidi Bel Abb�s, �pouse Evelyne PAOLI
le 8 janvier 1972 � N�mes.
Ils ont eu trois
enfants:
Florence
N�e le 15 d�cembre 1972 � Toulouse.
Elle �pouse Xavier Renerre.
Ils ont un enfant Louis, n� le 10 mai 2001.
Olivier
N� le 2 f�vrier 1975 � Narbonne.
Anne
N�e le 20 octobre 1976 � Narbonne. Elle vit avec Estrat MATEU.
Ils ont un enfant, Carla n�e le 29 avril 2001.
Pierre
Georges RAPINAT et Ang�le AMBROGIANI ont eu deux enfants :
Jean
Pierre N� le 4 avril 1944 et d�c�d� le 15 janvier 1973.
Jean
Jacques N� le 21 novembre 1949 �pouse Elisabeth Bally, née
le 4 juillet 1950, � Marseille le 22 f�vrier 1975.
Ils ont trois enfants:
Pierre
: N� le 10 septembre 1975
Laure
Ang�le : N�e le 17 avril 1979
S�bastien
: N� le 8 octobre 1985.
MES GRANDS-PARENTS
MATERNELS.
Jos� SANCHEZ, n�
en 1846 � Canjazar (province d'Almeria), d�c�d� � Montauban le
22 octobre 1911,
fils de Sylvestre
SANCHEZ et de Rose RODULFO
et Maria Piedad PREGUEZUELA,
n�e en 1853 � Dolar (province de Grenade), d�c�d�e � Oran le 27
janvier 1909, fille de Gaspar et Antonia ALAMO.
Quelques d�tails
sur leur vie Mes grands-parents vivent en Espagne et ont une fille,
Trinit� En ce temps-l�, comme du reste en France, le temps du
service militaire obligatoire venu, les gar�ons tiraient au sort
un num�ro: les bons �taient exempt�s. Jos� a eu la chance d'avoir
un bon num�ro... mais les personnalit�s du coin lui ordonnent
de prendre la place du fils du ch�telain qui, lui, a tir� un mauvais
num�ro. Le grand-p�re Jos� se rebiffe, refuse - il a non seulement
un bon num�ro, mais il est mari� et est p�re d'un enfant. On le
menace. S'il fait la forte t�te, on verra ce qui lui arrivera!
Furieux, il revient chez lui, demande � sa femme - 17 ou 18 ans
� peine - de pr�parer un l�ger bagage avec du linge pour le b�b�.
Ils embarquent de nuit pour Oran sur une balancelle - avec juste
ce qu'ils ont sur le dos - et mon grand-p�re ne retournera jamais
en Espagne. Nous sommes autour de 1870.
Ma grand-m�re, elle,
est retourn�e chez ses parents le moment venu de faire ses couches,
elle a eu l�-bas d'autres enfants dont deux filles, Marie et Andr�a.
Ma m�re seulement est n�e � Oran. Mon grand-p�re avait un magasin
de coutellerie, "Aux armes de St Etienne", � Oran, rue Philippe.
Apr�s la mort de sa femme, le 27 Janvier 1909, il est rest� encore
un peu de temps avec ma m�re. Puis il vend le magasin et, sur
les insistances de sa fille Marie, �pouse Montaricou, part avec
ma m�re � Montauban. Ma m�re, d�j� fianc�e, revient chez ses s�urs
� Oran pour se marier. Le grand-p�re, malade, reste � Montauban.
Il meurt le 22 octobre 1911 et la famille � Oran en est avertie
le 28, juste le jour du mariage de mes parents. Une lettre suit,
racontant avec force d�tails l'enterrement, suivi par les officiers
de la garnison. En r�alit�, le pauvre grand-p�re avait �t� mis
� l'h�pital d�s le d�part de ma m�re. Il �tait mort tout seul,
abandonn�. Au petit matin, par une porte d�rob�e jouxtant l'h�pital
hospice, il avait �t� inhum� le 23 octobre dans le cimeti�re urbain
(caveau temporaire pr�vu pour cinq ans). Apr�s cette p�riode,
"les restes de Monsieur Sanchez ont �t� lev�s et transf�r�s dans
le caveau d�positaire du cimeti�re "(lettre de la mairie de Montauban
en date du 12 octobre 1967). Je n'ai jamais montr� cette lettre
� ma m�re.
A la suite de tous
ces �v�nements, les trois s�urs - Trinit�, Andr�a, Jos�fa - ont
jur� de ne plus avoir de relations avec la famille Montaricou.
Elles ont tenu parole. Je n'ai jamais connu ces parents ! N�na
et moi nous sommes d�cid�es un beau jour, �tant � Auch, d'aller
sur la tombe du grand-p�re. Ayant les renseignements fournis par
la mairie, nous n'avons malheureusement vu que le caveau d�positaire,
plein � ras bord. Depuis 1911, les restes du grand-p�re devaient
�tre tout au fond, dans les premiers. En souvenir, nous y avons
d�pos� une c�ramique.
La famille de
ma m�re:
Ses parents ont eu
deux gar�ons morts en bas �ge et quatre filles:
Trinit�
: N�e en Espagne, d�c�d�e � Casablanca �pouse Antoine LOPEZ, entrepreneur
de ma�onnerie � Oran.
Ils ont eu deux enfants:
Antoine
(N�n�), mari� � Suzanne. Ils ont un enfant, Ren�, masseur kin�sith�rapeute
� Amiens, mari� et trois enfants.
Anna
(N�na), mari�e � Georges COULET, cinq enfants: �
Albert
(Bill), n� en 1930 � Alger, �pouse Monique BORNE. Ils ont
trois filles :Anne-Marie, Catherine et Dominique toutes trois
mari�es avec enfants. �
Pierre,
n� en 1934 au Maroc, mari� � Georgette et deux enfants, Denis,
mari�, deux filles et Claudie, mari�e, deux enfants. �
Jean,
n� en 1936 au Maroc, mari� � Genevi�ve BORNE (Chinou), trois
enfants: Martine qui a un fils: S�bastien, et 2 autres Philippe
d�c�d� et Eric. �
Bernard,
n� en 1940 au Maroc, mari� � Nicole et deux enfants Olivier
et Guillaume mari� � Fran�oise: un gar�on: Julien. �
Michel,
n� au Maroc en 1945, mari� � Eliane et deux enfants Muriel
et Alain.
Marie
: N�e en Espagne, mari�e � Henri MONTARICOU (originaire de Ch�tellerault,
officier fran�ais en garnison � Oran, Gab�s en Tunisie et Montauban),
a un enfant Marcel.
Andr�a
: N�e en Espagne, mari�e � Gaston FAURE (mon parrain), mort �
la guerre en 14 : je ne l'ai pas connu ! Elle est d�c�d�e � Oran
en novembre 1940.
Ils ont eu deux filles
:
Yvonne,
mari�e � Henri LECLAIRE, pilote � AIR FRANCE, a un fils: Raymond.
Elle divorce et se remarie avec un commandant, CHERREY. Elle
est suppos�e disparue dans un tremblement de terre � Agadir
Ren�e,
mari�e � Fernand CASTAGNE, trois filles : Andr�e et des jumelles
(l'une d'elle H�l�ne). D'Oran, ils sont partis � Blois. Je n'ai
jamais eu de leurs nouvelles.
Jos�fa
: ma m�re. N�e � Oran le 5 janvier 1889, d�c�d�e � Sainte Foy
la Grande le 8 d�cembre 1971,mari�e
� Hippolyte Pierre RAPINAT, n� le 23 mai 1889 � M�nerville (d�partement
d'Alger), m�canicien sortant des arts et m�tiers de Lyon, garagiste
� Oran puis � Tlemcen, d�c�d� le 14 avril 1952 � Sidi Bel Abb�s,
trois enfants d�j� mentionn�s.
La famille de
mon p�re :
Ses parents ont eu
deux enfants :
Hippolyte
Pierre Rapinat : mon p�re
Th�r�se
Marie : n�e le 19 mai 1895, mari�e avec Claude Angl�s.
Elle a eu trois enfants
: Le premier Roger, mort en bas �ge. Roseline, morte en bas �ge,
Jean
Claude n� le 16 f�vrier 1933, mari� le 27 Novembre 1956 avec
Paule Girard, n�e le 54 avril 1935.
Ils ont deux enfants
:
Odile,
Mich�le, Roseline, n�e le 11 mai 1959 mari�e en juillet 1981
avec Denis Chalamette. Ils ont un enfant : Pierre n� le 26
Novembre 1980.
Olivier
Gilles Pierre, n� le 27 mai 1968, mari� avec Claudie Lamal.
Ils ont un enfant : Urvan n� le 2 avril 1999.
MES ARRIERES GRANDS
PARENTS RAPINAT/BOULETIN.
Quelques d�tails
et anecdotes�
Mon arri�re grand-p�re,
Pierre Fran�ois Rapinat, garde champ�tre � Sorgues sur Ouv�ze.
Malgr� sa petite taille (1m58), redout� de tous, il a �t� mari�
trois fois, 15 ou 17 enfants des deux premi�res femmes (disait
ma tante Th�r�se !), aucun enfant de la troisi�me. Je n'ai connu
que tante Marie n�e le 24 d�cembre 1852 et mon grand-p�re , son
demi-fr�re. Mon grand-p�re Victorin (ou Victorien) Rapinat, n�
le 20 juillet 1858 � Sorgues, chauffeur de trains, a �t� envoy�
par la Compagnie de Chemins de Fer en Alg�rie au moment o� la
France cr�e les lignes de communication PLM : Paris - Lyon - M�diterran�e.
Il rencontre Th�r�se F�licie Bouletin, n�e le 30 septembre 1866
� Ch�teauneuf-du-Pape et dont le p�re avait obtenu une concession
� Chabet el Ameur, commune d'Isserville en Alg�rie et l'�pouse.
Les voil� mari�s le 26 f�vrier 1887. J'ai toujours entendu parler
de Chabet el Ameur, Bordj Mena�el, S�tif, Constantine. Ils auront
2 enfants, mon p�re Hippolyte et Marie-Th�r�se, la tante Th�r�se.
Celle-ci est n�e le 19 mai 1875 � S�tif. Le couple va ensuite
habiter � Constantine. Anecdote � propos de mon arri�re grand-p�re
Bouletin: veuf avec deux fillettes, il �pouse une veuve ayant
elle-m�me deux enfants. Ma grand-m�re reste seule, sa jeune s�ur
�tant d�c�d�e. On lui apprend � se servir d'un fusil et � ne jamais
sortir seule et sans arme : les arabes volaient les petites fran�aises
� cette �poque. Ma grand-m�re a donc une mar�tre qui, pour se
d�barrasser d'elle, la "confie" � un couple sans enfant, d'origine
belge, dont j'ai oubli� le nom. Ils promettent de l'�lever comme
leur propre enfant et de lui laisser tout leur bien lorsqu'ils
mourront. En r�alit�, elle leur servira de domestique � bon compte...
mais ma grand-m�re m'a souvent dit que cette femme lui avait appris
tout ce qu'une ma�tresse de maison doit savoir : maison, cuisine,
p�tisserie, tricot, couture...
Ma grand-m�re �tait
en effet une m�nag�re accomplie (c'est du reste elle qui m'a enseign�
beaucoup de ce qu'elle savait elle m�me). Mais ces gens avaient
n�glig� de faire un testament. A leur mort, leurs h�ritiers sont
venus de Belgique et ma grand-m�re s'est retrouv�e avec une simple
malle contenant son trousseau et ses affaires personnelles, en
ayant pris la pr�caution de s'asseoir r�solument sur cette fameuse
malle qui seule lui restait. La seconde �pouse Bouletin, mar�tre
de ma grand-m�re, fait signer � son ben�t de mari une reconnaissance
de dette fictive, ce qui fait qu'� la mort de celui-ci, elle h�rite.
Voici donc ma grand-m�re une seconde fois flou�e.